N 12426 La Décoration Monumentale des Églises de
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N 12426 La Décoration Monumentale des Églises de La France Septentrionale du XII ao XIII Siecle, par A. Marignan. Paris Ernest Leroux Éditeur, 1911. 334 Páginas. 11x17cm. Interior em muito bom estado.
« Nous avons déjà étudié les premiers artistes toulousains (1), nous devons donc décrire les uvres des sculpteurs septentrionaux. On ne saurait cependant sattendre à des analyses dartistes profondes et pénétrantes. Les critiques littéraires ny trouveraient leur compte car ces uvres encore imparfaites sont des créations anonymes. Ce qui nous charme dans ces uvres, cest leffort de lartiste à exprimer les sentiments déjà perçus, ce sont les nouveaux procédés quil emploie, les conseils donnés par lantique quil suit. Cette brillante aurore de la statuaire retrouvée est une première Renaissance ! (p. xvi-xvii). Jai transcrit ces lignes sans y rien changer, pas même la ponctuation qui est mauvaise ; on peut voir, par ce spécimen, que M. Marignan écrit une langue incorrecte. Il nhésite pas à parler dartistes « susceptibles de voir la nature (p. iv), de « voyages souvent entrepris (p. xix), dune « entreprise vrai¬ment osée (p. 2). Lauteur est savant, il a beaucoup vu, vu de ses propres yeux ; il est curieux des questions de costume et en apprécie bien limportance pour la chronologie des, monuments ; mais alors même quil écrit en français, cela est terne, sans saveur ou sans relief. Il mest impossible de dire ce quil a voulu prouver dans ce volume, dont la préface parle dautre chose et dont les dernières pages ne résument rien. Voici pourtant comment lauteur clôt un développement sur la ferveur religieuse des artistes : « Et de cette paix, de ce calme si doux, naît (sic) des uvres incomparables, qui reposent (sic) en ce moment (sic) nos esprits agités (p. 221). Mallem nihil sciret aut gallice scriberet (2).
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« Nous avons déjà étudié les premiers artistes toulousains (1), nous devons donc décrire les uvres des sculpteurs septentrionaux. On ne saurait cependant sattendre à des analyses dartistes profondes et pénétrantes. Les critiques littéraires ny trouveraient leur compte car ces uvres encore imparfaites sont des créations anonymes. Ce qui nous charme dans ces uvres, cest leffort de lartiste à exprimer les sentiments déjà perçus, ce sont les nouveaux procédés quil emploie, les conseils donnés par lantique quil suit. Cette brillante aurore de la statuaire retrouvée est une première Renaissance ! (p. xvi-xvii). Jai transcrit ces lignes sans y rien changer, pas même la ponctuation qui est mauvaise ; on peut voir, par ce spécimen, que M. Marignan écrit une langue incorrecte. Il nhésite pas à parler dartistes « susceptibles de voir la nature (p. iv), de « voyages souvent entrepris (p. xix), dune « entreprise vrai¬ment osée (p. 2). Lauteur est savant, il a beaucoup vu, vu de ses propres yeux ; il est curieux des questions de costume et en apprécie bien limportance pour la chronologie des, monuments ; mais alors même quil écrit en français, cela est terne, sans saveur ou sans relief. Il mest impossible de dire ce quil a voulu prouver dans ce volume, dont la préface parle dautre chose et dont les dernières pages ne résument rien. Voici pourtant comment lauteur clôt un développement sur la ferveur religieuse des artistes : « Et de cette paix, de ce calme si doux, naît (sic) des uvres incomparables, qui reposent (sic) en ce moment (sic) nos esprits agités (p. 221). Mallem nihil sciret aut gallice scriberet (2).
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