N 13423 André Beucler. Vingt Ans Avec Léon Paul Fargue. Avec un Frontispice de Chériane, trois dessins de Christian Pivete et un Portrait de Marie Schéikévitch Signé et daté de la main Farque. Éditions du Miliéu du Monde Geneve. (s/d 1952). 282 Pgs. 15x18cm. Encadernado. Conserva as capas de brochura.
Une opinion de Georges Imann-Gigandet :
Pour nous qui avons connu Fargue, qui connaissons le cher Beucler, ce livre est un admirable bain de jouvence, un éblouissant album de famille dont nous tournons amoureusement les pages. Rires, larmes, cocasseries, tendresse, subtile intelligences, absurdités plus subtiles et plus intelligentes encore ! Il faut pour comprendre la divine fantaisie, l'ironie, la poésie, l'humanisme et l'humanisme d'un Fargue...
Et quelle féerie de termes, d'images, d'impressions dans ce véritable mémorial où se poursuit entre l'homme et son biographe leur dialogue de vingt ans, quelle revanche de l'esprit et de la légèreté française sur tous les pontifes, les raseurs...

Une opinion de La Revue des Deux Mondes 15 mars 1953 :
Admirable Beucler ! Il a ressuscité Fargue avec un talent inouï; on ne sait, en lisant ce livre si amusant, si vivant, si coloré, malgré son décor le plus souvent nocturne, lequel a le plus de talent, Fargue ou Beucler... Et il y a des histoires merveilleuses ; entre autres celle de l'habit noir qui est un chef-d'uvre de cocasserie... C'est un livre aussi amusant que touchant par le sentiment qui l'a dicté et l'esprit de compréhension et de vénération qui l'anime...

Une opinion de Robert Kemp :
Beucler vient de rendre un grand service à son ami, en nous le peignant tel qu'il fut, fantasque, imprévisible, magnifiquement bohème, dépensier de tout l'argent qu'il n'avait pas, et poète, dans sa vie, sous les yeux émerveillés de ceux qui le rencontraient, autant que dans ses vers-et-proses.

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